Le terrorisme intellectuel ne frappe pas avec des armes, mais avec des mots, des étiquettes et la peur.
Il ne débat pas, il intimide. Il ne convainc pas, il fait taire.
Obsédée par une volonté de déconstruire et de renier nos valeurs et notre culture, une partie de la gauche contemporaine s’est enfermée dans une logique où le désaccord n’est plus vu comme un moteur du débat démocratique, mais comme une preuve de pensée non conforme.
On ne discute plus : on discrédite, on disqualifie, on étiquette, on ostracise, on calomnie.
Ce terrorisme intellectuel fonctionne par la peur : peur d’être « cancel », peur d’être publiquement cloué au pilori sur les réseaux sociaux. Résultat : beaucoup se taisent, s’autocensurent.
Au nom de la tolérance, on devient intolérant ; au nom de l’inclusion, on exclut ; au nom du progrès, on refuse le débat.
Critiquer cette dérive n’est pas être « réactionnaire » ou « ennemi du bien ». C’est rappeler une évidence : sans liberté intellectuelle, il n’y a ni justice sociale réelle, ni progrès durable. Le désaccord n’est pas une menace. Le silence imposé, lui, l’est.
Total soutien à Pierrick Ducimetiere ! J'espère que cet évènement festif rencontrera un vif succès !
